Comment une jeune fille se mit à la flagellation

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il y a 6 mois

J’avais quatorze ans. C’est à une amie de mon âge que je dois de connaître ces joies, ces joies que je me vante de trouver supérieures à tout le reste. J’espère bien les trouver toujours telles, ces joies d’une essence autrement raffinée qu’aucune des autres, dans quelque domaine que nos sens les puissent découvrir.

Mais, que ce mot d’amie ne soit pas, pour votre imagination, le prétexte d’une évocation, plus ou moins piquante, d’amitié féminine avec toutes ses conséquences, lesquelles, je l’avoue, seraient assez vraisemblables, étant donné ce que vous savez de mon présent. Pourtant, vous auriez tort de vous croire aujourd’hui autorisé à conjecturer rétrospectivement de mon passé juvénile et vous vous tromperiez fort en me supposant à quatorze ans le moindrement, je ne dirai même pas vicieuse, mais avertie.

Oui, simplement avertie, je ne l’étais pas. Occupée uniquement de mes examens, je me livrais passionnément à l’étude qui accaparait toute mon ardeur et toutes mes facultés. Je n’étais pas sans savoir en quoi consistait l’acte de la génération, mais j’ignorais absolument que, chez l’homme et chez la femme, il s’accompagnât de plaisir. Je le croyais l’accomplissement pur et simple d’une fonction strictement physique, animale.

Ma mère professeur de piano, m’élevait d’une façon assez austère, - veuve d’un musicien-pianiste également, m o r t depuis cinq ans. Nous ne fréquentions guère que la famille de ma mère, famille pieuse et assez rigide.

Au sortir de l’école communale, à treize ans, je devins élève du cours des demoiselles Langlois, rue de la Tour ; j’y préparai le brevet élémentaire, puis le brevet supérieur. Nous étions de quinze à dix-huit élèves dans ce cours bien connu à Auteuil. Avec les deux sœurs Langlois, quatre autres professeurs dames y enseignaient selon leur spécialité, le français, les sciences, l’anglais, le dessin, le piano.

Comme condisciples, j’avais de petites bourgeoises de mon genre, quelques-unes plus aisées, toutes également bien élevées, bien pensantes. Aucun mot malséant ne s’entendait là, pas plus qu’au sein de nos familles et, en grandissant dans de tels milieux, je n’acquérais aucune mauvaise idée résultant de fâcheux exemples.

Parmi mes petites amies du cours qui, la plupart, y restèrent aussi longtemps que moi, il en était une qui, dès mon arrivée, devint ma préférée. Ou plutôt, c’est moi que devins la sienne, car c’est elle qui fit les avances et les frais d’une intime liaison entre nous et qui f o r ç a la réserve où, e n f a n t quelque peu farouche, je me tenais d’habitude.

Le même jour, le cinq octobre, nous entrions toutes deux chez les demoiselles Langlois. J’avais treize ans et deux mois, elle, trois mois de plus, moi, grande et blonde ; elle, plutôt petite et brune. Moi, Parisienne et e n f a n t du quartier ; elle, Berrichone, de Bourges. Elle arrivait de son pays, - celui de son père, car sa mère était Bretonne.

Commerçant, marchand de confections, son père venait occuper, avec sa petite famille, rue de Passy, une boutique de mercerie-bonneterie en plein rapport, vraiment fort achalandée, qu’il héritait d’une tante.

Je n’avais jusqu’ici jamais fréquenté d’e n f a n t de mon âge, ni retrouvé ailleurs qu’en classe mes camarades de la laïque. Comment avec Jeanne il en fut autrement, je ne puis me l’expliquer que par des raisons de voisinage, au moins au début. La boutique de ses parents était au numéro 36, je demeurais en face et, de notre balcon du deuxième, je pouvais voir les gentils signes qu’elle m’adressait, soit du rez-de-chaussée, derrière ses vitrines, soit de l’entre-sol, des fenêtres de l’appartement ; mais, cet étroit voisinage n’aurait pas suffi à nous lier, si Jeanne, n’eût pas recherché aussi vivement mon amitié.

Sans être timide, j’étais peu communicative, peu expansive. Elle, tout au contraire, extériorisait immédiatement ses sentiments, aussitôt éprouvés.

Au cours, nous étions, à côté l’une de l’autre. Nous en revenions ensemble, à midi et le soir, à cinq heures, et, bientôt, nous nous attendions pour y aller.

Moins avancée que moi, je l’aidais de mes conseils et, peut-être mon contentement vaniteux me fit-il accueillir volontiers ses efforts pour conquérir mon affection.

Bref, huit jours ne s’étaient pas écoulés que nous devenions grandes amies. Maman qui connaissait ma sauvagerie s’en étonnait, mais elle parut s’en réjouir.

La mère de Jeanne, avec qui elle entra en excellents rapports, voyait d’un bon œil sa fille choisir pour compagne habituelle une gentille fillette bien élevée, comme je paraissais l’être de tout point.

Jeanne était d’une rare douceur de caractère. Telle fut la première impression qu’elle me produisit. Elle avait pour m’embrasser des façons singulièrement prenantes. J’aimais ses grands beaux yeux qui me regardaient avec tendresse et jusqu’au geste caressant de ses mains qui, quand nous nous quittions ou quand nous nous retrouvions, saisissaient câlinement les miennes et, insinuantes, montaient le long de mes poignets et de mes bras nus, sous mes manches, écourtées encore aux premiers jours d’octobre.

Ses doigts fins, avant d’arriver à mes coudes, à la saignée, je les sentais se promener si doux sur mes avant-bras que je les laissais volontiers en prendre possession. La répétition constante de ce geste familier ne me déplaisait pas et m’amusait.

Loin de le croire une caresse, je le trouvais e n f a n t in et bien conforme ainsi au caractère de ma petite amie qui, quoique mon aînée de trois mois, était de fait ma cadette, autant en raison de se taille moindre que du niveau inférieur de son instruction.

Bientôt, nous fîmes nos devoirs l’une chez l’autre, tour à tour. J’allais un jour chez elle ; le lendemain, elle vint chez moi ; mais ce fut le plus souvent chez moi, j’avais plus de livres.

Quand c’était chez elle, nous montions à l’entresol, dans la chambre de ses parents sur la rue. Nous étions seules. Sa mère restant avec son père, en bas, dans la boutique.

Parfois, quand, un instant, nous nous arrêtions de travailler, Jeanne me montrait des cartes postales de son pays, des photographies de sa famille. Celles de sa tante surtout, une sœur de son père, de Bourges, qui l’aimait bien et qu’elle aimait beaucoup aussi et qui avait une fille Amélie. Oh ! sa cousine Amélie, qu’elle aimait tant ! Jeanne me disait que sa tante, sa cousine et moi, eh bien, elle nous aimait autant que sa maman ! Oui, autant ; mais, si cela continuait, c’est moi qu’elle aimerait le plus des quatre.

Car, elle m’aimait bien ! Et elle m’embrassait, elle m’embrassait ! Et ses petites mains douces se coulaient dans mes manches et me montaient jusqu’aux épaules.

Elle avait embrassé mes joues, mon front, mes yeux, elle m’embrassait les mains ensuite. Et une chose qu’elle faisait souvent et qui me faisait rire, elle me prenait la main droite et me faisait, avec cette main, lui donner sur les joues de petites gifles, qui, bientôt, devenaient plus fortes. Et elle riait, quand la claque faisait du bruit.

Quand elle avait de la peine à saisir quelque explication, que je m’évertuais parfois à lui répéter des deux et trois fois, c’est là qu’elle me prenait la main pour que je la gifle et elle me disait alors :

  • Oui, donne-moi des claques… Oui, bats-moi, bats-moi…

Cela m’amusait. Cette douceur de caractère qui était tout l’opposé du mien flattait le goût d’autorité que j’avais déjà.

C’est au bout seulement d’une quinzaine de jours que nous en étions là. Avant cela, mes premières claques à elle données sur ses instances et aidées par son geste remontaient, je crois, au huitième jour. Au début de la troisième semaine, chez elle, un jour je m’eff o r ç a is de lui faire entrer dans la tête la démonstration du théorème 14 du deuxième livre, ainsi conçu : Quand deux circonférences sont tangentes intérieurement, la ligne des centres est égale à la différence des rayons. On eût dit qu’elle faisait exprès de ne pas comprendre. Soudain, elle me dit :

  • Oh ! mais alors, ce n’est plus des claques sur la figure qu’il faut me donner. Il faut me fouetter !…

En disant cela, elle levait sur moi ses beaux yeux qui brillaient, étrangement suppliants.

Elle le répéta quand je continuai mes explications. Elle l’avait répété à quatre ou cinq reprises, que cela ne m’avait en rien mise sur le chemin semé de roses où elle voulait m’engager avec elle. Je n’avais nulle idée du Fouet.

À la laïque, dans le vertueux vie, on ne fouette pas. Ou plutôt, on ne fouettait pas de mon temps. Maman non plus ne me fouettait pas et je ne connaissais personne alors chez qui cela se pratiquât. Je croyais que le fouet était quelque chose d’antique et de cruel, à jamais aboli et connu, de nos jours, des bébés seulement. Je n’en savais autrement que ce que m’avaient appris les livres, mes chastes livres d’histoire : je connaissais les Flagellants du moyen âge, du xiiie siècle et les Flagellants d’Henri III, comédiens sinistres ou grotesques.

Une fois, qui ne fut guère éloignée de la première, après qu’elle m’eût encore demandé de la fouetter, à l’occasion d’arithmétique ou de géométrie, ses deux points faibles parmi tant d’autres, je fus fort étonnée de l’entendre me poser cette question inouïe :

  • Ta maman ?… quand est-ce qu’elle te fouette ?

J’en fus stupéfaite et indignée surtout. Tout mon orgueil se révolta, mon orgueil de grande fillette jouant déjà la demoiselle. Je ne pus lui répondre que ceci, sur un ton de hautain mépris pour une telle supposition :

  • Penses-tu ?…

Aussitôt, elle me répondit :

  • Moi, maman me fouette. Tiens, hier, elle m’a fouettée, parce que Mademoiselle Langlois, l’aînée, était venue acheter quelque chose, pendant que nous étions chez toi. Comme elle lui avait dit que je n’allais pas et que je ne faisais pas d’efforts, maman m’a fouettée. Tiens, c’est comme cela qu’elle m’a fait…

Et elle joignit l’action à la parole.

J’étais assise sur une chaise. Elle aussi. Elle se leva, s’étendit sur moi. Après plusieurs secondes, où je restai simplement étonnée, ne sachant où elle en voulait venir au juste, elle me dit :

  • Eh bien ?… fouette-moi… Fouette-moi, maman n’entendra pas.

Comme, décidément, c’était mon tour de ne pas comprendre, elle se releva, manifestement dépitée. Notre école mutuelle reprit. Elle me fit réciter mes leçons que je savais à merveille, je lui fis réciter les siennes qu’elle ne savait nullement. Elle revint à la charge :

  • Pourquoi ne veux-tu pas me fouetter ?… Il n’y a pas que Maman qui m’a fouettée, va. Ma tante aussi m’a fouettée. À Bourges, elle m’a fouettée comme elle fouette Louise, ma cousine.

Je n’en revenais pas.

En rentrant chez nous, je n’en parlai pas à maman ; mais, j’y pensai toute la soirée.

À mes sens complètement endormis encore, aucun appel ne venait, émané d’un récit qui pourtant me troublait.

Le lendemain, c’est chez nous que nous fîmes nos devoirs. Maman était absente. Outre ses leçons chez elle, elle en avait beaucoup à domicile, en général à partir de trois heures et, ce jour-là, particulièrement, elle serait retenue tard au-dehors.

J’attendais impatiemment que la conversation reprit sur le sujet laissé en suspens la veille. Après une demi-heure d’étude silencieuse, je lui fis réciter des vers d’Eugène Manuel. Ce fut lamentable.

Je jouai la sévère. J’aimais d’ailleurs ce ton. Jeanne vint s’étendre sur moi.

  • Fouette-moi, cette fois. Il le faut, tu vois bien. Autrement, je ne ferai jamais rien.

Ma main ébaucha le geste, se leva, s’abaissa et se posa sans s’appuyer.

  • Oh ! non, ce n’est pas comme cela. Lève ma robe, comme on fait.

Comme je ne paraissais pas m’y décider, Jeanne se redressa, se mit debout. Elle se retroussa et reprit sa place sur moi.

J’avais sous les yeux, dans son coquet pantalon pareil au mien, un bon petit derrière, ainsi que vous pouvez deviner celui d’une fillette de treize ans et demi, plutôt bien en chair. Bien formé, rond et dessiné par la culotte assez juste.

J’hésitai et, après quelques secondes, je donnai une claque, bien au milieu, claque que se partagèrent les deux moitiés, claque timide et qui dut lui paraître combien insignifiante et dérisoire. Sa voix jeta implorante presque plaintive :

  • Oh ! plus fort ! plus fort !…

Je me décidai : deux fois, trois fois, quatre fois ma main claqueta, toujours au milieu, toujours également en partie sur l’une et l’autre moitié. Et je m’arrêtai.

Jeanne riait, mais, je sentais qu’elle s’impatientait, agitant ses jolies jambes. Elle se releva tout d’un coup :

  • Tiens, tu ne sais pas… Ce n’est pas comme cela qu’on fouette. Il faut claquer vite et puis fort, fort. Et puis, ce n’est pas par-dessus le pantalon.

La phrase dernière, elle l’a lancée sur un ton plus bas, mais nos regards se sont croisés et, son œil brillant, je l’ai vu plus brillant encore, d’une émotion dont, toute ignorante et naïve que je suis, je discerne vaguement la perversité…

Et ma vertu effrayée se cabre.

Mais, Jeanne a lu dans mon regard ma réprobation, elle reprend sa place sur sa chaise devant la table et la leçon se poursuit.

Le lendemain, c’est chez elle. Je la vois agitée, comme elle l’a été toute la journée, à l’école, assise à mon côté. Elle me regarde, puis baisse les yeux. Je devine qu’elle voudrait me dire quelque chose et qu’elle n’ose pas. Par moments, en écrivant, elle sourit, son œil s’aiguise de je ne sais quelle malice. Elle ne doit guère penser à ce qu’elle écrit.

Je m’en doutais bien ! Son devoir d’arithmétique est idiot. Je le lui dis, elle rit.

  • C’est ta faute ! Si tu me fouettais, tu verrais comme ce serait mieux.

Je ris aussi. Cela l’enhardit, elle continue et alors, je ne sais pourquoi, résolue à l’écouter jusqu’au bout, je la laisse aller.

Elle me parle de sa tante, qui la fouette bien mieux que sa maman. Elle va chercher l’album, me remontre ses photos et celles de sa cousine Amélie, une belle grosse fille de douze ans. Oui, mais il y a deux ans que fut prise cette photo. Elle en a quatorze à présent. Et sa mère la fouette toujours. Oh ! oui, elle lui donne des bonnes fessées.

Elle a dit le mot. Il m’eut terriblement choquée, il y a quelques jours. Aujourd’hui, je l’entends sans broncher. Mes pudiques oreilles ne s’en formalisent pas. Et Jeanne m’explique comment sa tante procède. Elle vous tient sur ses genoux, elle vous retrousse la robe et vous défait votre pantalon. Oui, toujours, toujours. À elle aussi, elle le défait quand elle la corrige, sa tante.

Du reste, sa mère également. Quand, avant-hier, après la visite de Mademoiselle Langlois, sa mère lui a donné la fessée, elle l’avait déculottée. Parfaitement, c’est ainsi que l’on fait. On déculotte les filles pour bien les fesser. C’est pourquoi sa tante n’y manque jamais et, chaque fois, c’est d’un fort, d’un fort !

C’est la première fois que ces expressions sont prononcées devant moi. À la laïque, dans les récréations, les e n f a n t s parlaient quelquefois de fessées : une grande en menaçait une petite, par exemple ; mais, c’était tout.

Jamais le verbe déculotter n’avait été conjugué en ma présence par une camarade. De même que le verbe fesser lequel, à l’écolière prude que je suis, paraît plus inconvenant encore que l’expression donner la fessée. Pourquoi ? par quel mystère psychologique ou sémantique, je ne sais au juste ; mais c’est ainsi.

Après sept heures, sa mère monte et interrompt brusquement les récits de Jeanne.

C’est dommage. J’y prenais intérêt.

J’y pense, après dîner et dans mon lit encore. À f o r c e d’y penser, en moi germe l’idée de corriger l’élève rétive qu’est ma petite amie à la façon qu’elle se sait profitable. Si c’est là le seul moyen de la faire travailler, je l’emploierai donc. La future pédagogue qui éclot en moi, et qui adore enseigner à de plus ignorantes ce qu’elle croit savoir, est très flattée au fond que, déjà, on lui trouve l’autorité nécessaire pour inspirer le goût de l’étude aux élèves arriérées.

En tout cas, c’est dans un but hautement moral que je me résoudrai, à me montrer sévère. Mais, pourquoi, pourquoi, dans le tréfonds de ma conscience une voix m’intime-t-elle de ne parler de rien à maman ?

Hélas ! le lendemain, chez nous, rien. Maman est là. Sa meilleure cliente, la comtesse, lui a demandé par télégramme de vouloir bien remettre la leçon qui sera payée quand même.

Le surlendemain, c’est à l’entresol au dessus de la mercerie que nous nous installons, à cinq heures dix. On y accède, de la boutique, par un escalier en colimaçon dont l’entrée est dans l’arrière-boutique. Mais, de celle-ci, petite pièce carrée donnant sur la cour et dont les merciers ont fait la salle à manger, la porte ouvrant sur la boutique est fermée.

C’est ce que me dit Jeanne et, pour plus de sûreté, elle s’en assure.

Aujourd’hui, c’est encore de la géométrie. De la géométrie et la suite de l’autre fois. C’est de la veine, me dis-je en moi-même, sans me reprocher en rien une satisfaction intime qui n’a même pas le don de m’étonner. Théorème dix-huit : dans le même cercle, ou dans des cercles égaux, deux angles au centre sont entre eux comme l’arc compris par leurs côtés.

Oui, c’est de la veine. Jeanne n’a saisi quoi que ce soit de la démonstration au tableau, pourtant lumineuse, de Mademoiselle Langlois l’aînée, de qui la Géom est l’apanage. Je répète la susdite démonstration à cette crétine de Jeanne dont l’œil pétille. En vain : elle est bouchée à l’émeri, fait croire. Mon irritation légitime doit être bien visible, car sans que je le lui dise, elle vient s’allonger sur moi.

Baisserai-je, ne baisserai-je pas son pantalon ?

L’hésitation me semble interdite formellement. Cette gosse à l’esprit paresseux a besoin d’être stimulée. Je serais coupable de différer plus longtemps le stimulant efficace. Aussi bien, sa culotte est identique à la mienne, je l’ai vue hier ; je sais comment manœuvrer. Quand je veux baisser la mienne, pour certain petit besoin, c’est bien simple. Il en va de même pour celui-ci, non moins naturel. Car c’est un besoin pour cette e n f a n t , que d’être fessée. Allons-y, conjuguons les différents verbes dérivant de la même racine, fessons ! Pour cela, il faut qu’elle soit déculottée, déculottons ! Je relève sa jupe…

Ô stupeur ! qu’aperçois-je ?…

Son derrière nu !… Oui, nu, nu, tout ce qu’il y a de plus nu.

Quand elle s’est levée tout à l’heure, feignant d’aller au petit endroit, elle a fait le nécessaire : elle a baissé sa culotte… Elle a même relevé sa chemise et l’a maintenue, haut retroussée, bien au-dessus des reins par je ne sais quel artifice.

Elle m’a évité de prendre ces peines, c’est gentil. Mais, je ne me serais pas montrée empruntée, j’aurais su la descendre, sa culotte. Et sa chemise, j’aurais su la lui lever.

Je lui sais gré, néanmoins, d’avoir facilité ma tâche Est-ce pour cela que je regarde avec tant de sympathie ce joli derrière, le premier que voient mes yeux, mes yeux qui, depuis, en devaient voir tant d’autres ?

Mais, je ne m’attarde pas à le contempler sans rien faire d’autre, je veux le contempler en le claquant…

Je claque, je claque… Oh ! doucement, d’abord. Dame, j’ai un peu peur… Vous pensez : une première fois… Mais, que cela me plaît ! Je continue, je claque, je claque !

Jeanne est ravie :

  • Oh ! tu peux claquer plus fort ! Je te dis, on n’entend pas. Quand maman me fesse, on n’entend pas d’en bas.

Je claque plus fort. Oh ! cela m’amuse encore plus, car le derrière qui me semble si joli à voir s’anime et se remue drôlement. Oh ! que je m’amuse ! que je m’amuse et que j’ai de bonheur à sentir vivre sous ma main ces belles fesses charnues si fraîches et si remuantes !

Et voilà ma première fessée !

Le lendemain, ce fut la seconde. Et tous les jours où je le pus, tous, vous entendez bien, je fouettai ma chère petite amie. Maman s’absentait souvent, voilà pourquoi c’est bientôt chez nous qu’eurent lieu les « séances ». C’est là le terme qui convient.

Et cela dura des mois et des mois ! Trois ans entiers !

Si dès le début, cher Monsieur, ç’avait été pour moi une révélation, elle fut vite totale, vous m’avez comprise, totale, cette révélation des charmes de la flagellation.

Mais, avant d’en arriver là, laissez-moi dire en deux mots que, pendant près d’un an, je fessai ma chère Jeanne aussi innocemment que la première fois. Comme elle me disait de quelle façon elle voulait être claquée, je ne pouvais manquer de faire des progrès. Je la fouettai bientôt aussi bien que sa maman et même, et même ! aussi bien que sa tante !

Je la fouettai de plus en plus fort.

Il n’y avait que la crainte du bruit capable de me retenir la main. Chez maman, de jour en jour m’affranchissant de cette crainte, je me montrai vite ce que je suis restée, c’est-à-dire disposée toujours à claquer dur et ferme un beau derrière résistant !

Les fessées douces, tenez, ne m’en parlez pas ! J’appelle cela des époussetages.

Laissons ces fadeurs aux fesses molles, aux fesses en gélatine, honnies de Paulette ! Car Jeanne qui, à présent, a les fesses si dures, les avait déjà si agréablement élastiques et rebondissantes que c’eut été sot et impie de n’y pas faire honneur.

Jacques d’Icy

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